English |
|||||||||||||||||||||
CONTACT Volume 19, No. 19 - Automne 2009 |
|||||||||||||||||||||
Dans ce numéro: Message de l’exécutif de l’ARUCC Vous désirez contribuer aux initiatives de l’ARUCC? Le recrutement international Planification en vue de la pandémie H1N1 : un important sujet de discussion dans les campus postsecondaires cet automne Congrès du WARUCC – Mission accomplie! ARUCC-L et DocAlert-L, nouveaux et améliorés “Qu’est-ce qui fait le nom?” Processus de Bologne Convention de reconnaissance de Lisbonne – Appel de consultation des membres de l’ARUCC! Clin d’œil sur le Canada Atlantique Rapport final de l’exécutif de l’ARUCC : Conférence ARUCC 2008 Cheminement des membres Liens utiles Mise à jour sur la mobilité |
|||||||||||||||||||||
Message de l’exécutif de l’ARUCCVers la fin avril, les membres du comité exécutif de l’ARUCC ont participé à une retraite de planification stratégique organisée à l’Université York par Joanne Duklas, vice-présidente de l’ARUCC. Vous vous rappellerez peut-être que l’exécutif de l’ARUCC avait commandité un sondage sur la planification avant la tenue de la retraite. Un grand nombre d’institutions membres avaient répondu au sondage et, ce qui n’est pas surprenant, proposé plusieurs projets pertinents. Une de nos plus grandes frustrations pendant la retraite fut d’ailleurs de devoir nous résoudre à n’espérer que réaliser les plus importantes priorités.
Depuis la tenue de la retraite, l’exécutif de l’ARUCC a continué à définir ces priorités. Nous vous ferons part de nos progrès avant la conférence ARUCC 2010 à Vancouver. Vous désirez contribuer aux initiatives de l’ARUCC?Les membres de l’ARUCC intéressés à élargir leur réseau et à contribuer aux projets suivants devraient communiquer avec les personnes appropriées pour se renseigner: |
|||||||||||||||||||||
Le recrutement internationalL’exécutif de l’ARUCC a récemment été invité à se prononcer sur les initiatives d’internationalisation à l’échelle nationale du Comité consultatif sur les étudiants internationaux et l’immigration (CCEII), un comité fondé par Citoyenneté et Immigration Canada en 1995. www.cic.gc.ca/francais/etudier/institutions/partenariats.asp L’ARUCC maintient une adhésion non gouvernementale auprès du CCEII afin de représenter les intérêts du secteur postsecondaire du registrariat. Par conséquent l’ARUCC entretient un lien vital avec les efforts visant à améliorer la mobilité internationale et les partenariats internationaux. La dernière ronde de consultations a porté sur la découverte des meilleures pratiques pour les domaines suivants : la promotion et le recrutement; l’assistance aux étudiants internationaux avant la demande du permis d’études/l’entrée au Canada; les initiatives après l’arrivée (notamment les renouvellements de permis d’études et permis de travail); les options après la remise des diplômes, y compris les liens vers l’immigration permanente; les démarches collaboratives d’activités d’éducation internationale. Les commentaires qu’a fournis l’ARUCC sont issus de consultations auprès de ses institutions membres actives sur le marché international. L’échéance serrée du processus de consultation n’a pas permis à l’exécutif de l’ARUCC de mener une consultation plus vaste, mais le comité aimerait recevoir tout commentaire additionnel, le cas échéant. Si vous désirez en savoir plus, cliquez ici pour poursuivre la lecture. |
|||||||||||||||||||||
Planification en vue de la pandémie H1N1 : un important sujet de discussion dans les campus postsecondaires cet automneLes institutions de tout le pays se préparent à faire face aux éventuelles perturbations découlant de la propagation potentielle du virus H1N1. Voici quelques sources d’information pour éclairer vos discussions. En fournissant ces liens, l’ARUCC ne cherche pas à cautionner une ressource plutôt qu’une autre, pas plus qu’elle ne confirme les renseignements. Ces liens ne sont fournis que pour informer les membres.
CD, “H1N1 Preparedness: Fall 2009 Update For Colleges”, PaperClip Communications. Exemples de plans institutionnels:
|
|||||||||||||||||||||
Congrès du WARUCC – Mission accomplie!Congrès du WARUCC – Mission accomplie! Le Western Association of Registrars of the Universities and Colleges of Canada a tenu son congrès biannuel à Edmonton, Alberta, du 23 au 26 juin 2009, sur le thème cocasse « CIA* – The Not So Secret Service » qui transmettait un message sérieux. Les organisateurs et les présentateurs ont transmis une foule de renseignements sur la vaste gamme de services de base, essentiels à la mission et « pas si secrets », offerts aux étudiants, aux professeurs, aux administrateurs et aux institutions. Ce congrès a été rendu possible grâce à la collaboration du Concordia University College of Alberta, de la Grant MacEwan University, du King’s University College, du NAIT, du NorQuest College, du Taylor University and College of Alberta. Le congrès a eu lieu au Robbins Health Learning Centre de la Grant MacEwan University, un excellent site. En plus de l’hébergement dans les hôtels de la localité, les organisateurs ont obtenu des chambres dans les résidences d’étudiants de la Grant MacEwan University pour les délégués. Ce congrès a attiré presque 200 délégués. Le discours d’ouverture de Billy Strean, Ph.D., nous a rappelé que même si notre travail est sérieux, il faut que nous et les étudiants ayons du plaisir. Le Dr Randy Ritz, directeur du Département d’art dramatique (Concordia University College of Alberta), a souligné l’importance de communiquer efficacement. Et vendredi, Ken Steele, vice-président principal, Education Marketing (Academica Group), a prononcé un discours de clôture donnant matière à réflexion sur les tendances émergentes sur le marché canadien de l’éducation postsecondaire, présenté à la conférence nationale de 2008 de l’ARUCC à Halifax. Nous sommes en train de vivre d’importants changements politiques, sociaux et technologiques. Pour survivre, et prospérer, les établissements d’enseignement supérieur doivent être adaptables, souples et pertinentes. Comme l’a dit Ken, « ...soit que nous nous inspirions des vents de changement, soit que nous nous fassions balayer par le vent ». Dans le prolongement de la séance sur la gestion stratégie des inscriptions (GSI) de l’ARUCC 2008 et l’OURA 2009, le congrès du WARUCC proposait cinq séances sur la GSI. Les autres ateliers portaient sur la technologie, l’admission et le transfert de crédits, l’éducation internationale et les communications et la gestion des relations. L’ARUCC y a fait la promotion de sa prochaine conférence nationale qui aura lieu à Vancouver, en Colombie-Britannique, du 27 au 30 juin 2010. Ne manquez pas les détails à venir sur cette excellente occasion de perfectionnement professionnel. |
|||||||||||||||||||||
ARUCC-L et DocAlert-L, nouveaux et améliorésAu début juin, nous avons transféré notre serveur de liste de diffusion de l’Université du Nouveau-Brunswick à notre fournisseur de services commercial. Bien que la transition se soit passée relativement bien, nous continuons de raffiner et d’ajuster les fonctions de cette nouvelle liste. Parmi les nouvelles fonctions:
Nous avons ajouté des renseignements sur ces fonctions sur le site Web. Pour en savoir plus, visitez les pages Web suivantes sur arucc.ca:
|
|||||||||||||||||||||
“Qu’est-ce qui fait le nom?”
« Qu’est-ce qui fait le nom? » Nous nous sommes penchés sur cette question en C.-B., lorsqu’en avril 2008, notre gouvernement provincial a annoncé le changement de statut d’une institution, d’un collège et de trois collèges universitaires. Ces cinq établissements jouissent maintenant du statut d’université en vertu de notre loi sur les universités.. Mais qu’est-ce, qui fait le nom? Le fait d’être une université influence vos efforts de recrutement. Jouir du statut d’université et avoir accès à des subventions de recherches sont des avantages appréciables. Mais comme cinq institutions ont changé de statut en même temps, on a bien ri de la folie de la côte ouest partout au pays, certains blaguant que notre premier ministre s’était arrêté à une garderie en allant travailler et lui avait conféré le statut d’université! Ah! ah! ah!... Mais la presse et le gouvernement de notre province ont vite rappelé à ces nouvelles universités qu’elles étaient des universités par nom et par statut, mais pas nécessairement en termes de financement. Un reporter a alors répliqué que c’était comme recevoir une promotion au titre prétentieux sans toucher d’augmentation de salaire. Hum... Je pense que plusieurs d’entre nous qui travaillons dans le secteur postsecondaire ont vécu cela. En huit ans, mon titre d’un mot est passé à sept mots. En rétrospective, qu’est-ce qui a changé? Pas seulement le nom. À la Kwantlen Polytechnic Univeristy (ou KPU, mais même cet acronyme en fait sourciller plusieurs), le remaniement de la structure de gouvernance a à lui seul été tout un branle-bas de combat. En tant que registraires (un des sept mots de mon titre polymorphique), nous sommes responsables de toutes les élections de nos organes directeurs. Ce qui n’a pas changé avec l’obtention du statut d’université. Ce qui a changé est la rapidité avec laquelle nous progressons vers le bicaméralisme, exigeant la mise en place d’un Sénat de transition en octobre 2008 (à peine quelques mois après notre changement de statut), suivi d’un Sénat entièrement élu en janvier 2009. Puis nous avons eu une autre élection en février 2009 afin de combler les vacances pour septembre 2009. Notre organe directeur a doublé en passant de conseil d’enseignement à Sénat, et l’ajout de nouveaux sièges à notre conseil des gouverneurs a aussi requis une élection. La structure de sous-comités de notre Sénat a été élargie quand la responsabilité de la gestion universitaire est passée de l’administration et du conseil des gouverneurs, au Sénat. Il nous a fallu trouver des membres pour plusieurs nouveaux comités et mettre sur pied un comité des candidatures le plus vite possible. Ironiquement, nous avons dû obtenir des candidatures au comité des candidatures afin de recevoir des candidatures pour les autres comités! Une très petite équipe a été formée pour accomplir une foule de tâches. Cette équipe, à laquelle j’appartenais à titre de registraire, comptait plusieurs professeurs ayant de l’expérience en tant que présidents ou vice-présidents de notre ancien conseil d’éducation ou comité de révision des programmes, des administrateurs, dont le v.-p., Affaires universitaires, notre secrétaire et notre nouveau président. L’équipe a eu la chance d’avoir un nouveau président qui avait déjà travaillé dans plusieurs universités du Canada. Ses connaissances et son flair ont été d’une aide précieuse pour nous aider à évoluer vers un nouveau modèle de gouvernance. Qu’ont fait les membres de ce petit groupe pendant leurs vacances d’été 2008? Ils ne se sont pas fait dorer au soleil sur une plage du sud de la France. Ils n’ont pas fait une randonnée sur un sentier de la côte ouest. Ils n’ont pas bu une Pilsner Urquell sur la place historique de Prague. Non. Nous avons passé nos vacances d’été à rédiger les nouveaux règlements du Sénat, les nouvelles règles électorales et les termes de référence pour les nouveaux comités du Sénat, et à jeter les bases d’un Sénat de transition, dans l’optique d’avoir un Sénat entièrement opérationnel dans un délai de six mois. Et nous avons accompli tout cela pour septembre 2008! Au bout du compte, aucun de nous a regretté y avoir consacré son été. Pourquoi? Combien de fois au cours d’une carrière avons-nous l’occasion de créer une université? À la « fin » de cette occasion unique, du travail et de tous les efforts déployés pendant l’été, nous avons eu TOUTE une célébration. Je dis fin entre guillemets parce que le travail n’est jamais terminé. Plusieurs membres de l’équipe de démarrage siègent maintenant au comité permanent du Sénat sur la gouvernance. Et qu’est-ce qui se profile à l’horizon pour le comité de gouvernance? Nos divisions universitaires sont en train de former les conseils de leurs facultés et de rédiger les règlements qui guideront leurs activités, et nous créons les chaires du chancelier et les sous comités du Sénat. Dans mon prochain article, je vous parlerai de l’impact que la transition à une université a eu sur nos activités de tous les jours dans les services aux étudiants, plus particulièrement en ce qui concerne les dossiers et la remise des diplômes. |
|||||||||||||||||||||
Processus de BologneEn 1999, les ministres de l’éducation de l’Enseignement supérieur de 29 pays d’Europe se sont réunis à Bologne, en Italie et ont mis sur pied les bases de ce qui est maintenant désigné comme le Processus de Bologne qui vise à standardiser les systèmes d’enseignement supérieur des pays signataires afin de permettre, entre autres, une plus grande mobilité étudiante en Europe et d’attirer les étudiants des pays étrangers. D’ici 2010, 46 pays européens se sont engagés à faire partie d’un Espace européen de l’enseignement supérieur (EEES) intégré. Plus spécifiquement, ces pays se sont entendus afin de rendre leurs systèmes d’éducation compatibles et de développer des outils qui permettront une meilleure compréhension des résultats universitaires obtenus. Les outils développés sont d’une part, une grille d’équivalence appelé : Système européen de transfert de crédits (ECTS –European Credits Transfert System) et d’autre part, un supplément au diplôme incluant les informations relatives au programme suivi telles que la nature, le niveau, le contexte, le contenu et le statut des études complétées. Il va sans dire, que cette entente amène un changement en profondeur du système d’enseignement européen. Plusieurs pays extérieurs au Processus de Bologne comme l’Australie, la Chine et certains pays sud-américains ont déjà manifesté leur intérêt à s’inspirer du système européen. Une des principales motivations est de contrer l’augmentation de la concurrence face à la mobilité étudiante et d’amoindrir les répercussions appréhendées sur le recrutement des étudiants étrangers. L’ampleur de ces changements aura sans nul doute des répercussions pour les universités canadiennes, notamment, sur la capacité d’attirer des étudiants provenant des établissements des pays signataires et également, pour les étudiants canadiens qui souhaitent poursuivre leurs études en Europe. L’enjeu majeur porte sur les programmes de 2e cycle, c'est-à-dire comment attirer des étudiants des pays où le 1er cycle universitaire (la licence) correspond à 15 ans de scolarité. Les universités canadiennes (et américaines) doivent décider si les diplômes, conformes au Processus de Bologne, sont admissibles dans les programmes de cycles supérieurs de leur établissement respectif. Elles devront également fournir des outils similaires à ceux reconnus par le Processus de Bologne pour permettre aux étudiants canadiens de poursuivre leurs études dans des pays européens. Actuellement, quelques universités canadiennes ont commencé à intégrer dans leurs programmes de 2e cycle, des étudiants européens ayant un diplôme de premier cycle de 3 ans, elles procèdent au cas par cas. C'est-à-dire que les décisions d’admission dans les programmes aux cycles supérieures tiennent compte de la qualité de chacune des candidatures plutôt que de la durée des études. Certaines ont également commencé à produire un équivalent de leurs relevés de notes en ECTS en partant du principe que, de façon générale, deux crédits reconnus par l’ECTS équivalent à un crédit universitaire canadien, peu cependant semblent fournir un supplément au diplôme. Les universités canadiennes doivent poursuivre leur réflexion et trouver le moyen d’échanger sur leurs différentes politiques mises en place pour faire face à cette nouvelle réalité. L’ARUCC doit se pencher prochainement sur le rôle qu’elle pourrait jouer auprès des registraires dans cette réflexion. Pour des informations supplémentaires : Le processus de Bologne et ses répercussions pour les universités canadiennes : Rapport du symposium de 2009 de l’AUCC En anglais : The Bologna Process and Implications for Canada's Universities: Report of the 2009 AUCC Symposium |
|||||||||||||||||||||
Convention de reconnaissance de Lisbonne – Appel de consultation des membres de l’ARUCC!
Le Canada s’apprête à reconnaître la Convention de Lisbonne
Que change la Convention de Lisbonne? L’AUCC a demandé à l’ARUCC d’examiner les répercussions et les implications de cette ratification. Dans sa note à l’ARUCC, Robert White de l’AUCC a souligné que « ...on se préoccupe du fait que la charge de la preuve passe de l’individu cherchant à faire reconnaître ses qualifications à l’institution. Bien que les institutions par la lettre de convention soient réputées être responsables de prouver qu’elles ont appliqué des procédures équitables et non discriminatoires dans leurs évaluations des qualifications d’un demandeur, il n’est pas clair si cela aura des implications concrètes sur le travail de tous les jours des agents de l’admission. Toutefois, à ce jour, rien ne semble indiquer que cela soit le cas dans d’autres pays. La déclaration de ratification contenue plus loin dans la note indique que « Chaque institution postsecondaire du Canada détermine les qualifications qu’elle acceptera pour l’admission à divers niveaux d’études ». La ratification et l’adoption au Canada pourrait avoir deux conséquences considérables. Premièrement, « ...les détenteurs d’une qualification d’un pays signataire pourront faire reconnaître cette qualification... ». Deuxièmement, « ...la reconnaissance mutuelle des qualifications doit être accordée par les états contractants, à moins que des différences importantes puissent être prouvées... ». Je me questionne sur les mécanismes et l’application de la reconnaissance des qualifications « ... ‘à moins que’ des différences importantes puissent être prouvées. » S’attendra-t-on à ce que l’institution prouve que le demandeur n’est pas qualifié, ou à ce que le demandeur prouve qu’il est qualifié? Et que l’on démontre non seulement des différences, mais des différences « importantes ». Comment pensez-vous que la Convention de reconnaissance de Lisbonne affectera les études supérieures au Canada? Cliquez ici pour consulter la note intégrale de Robert White (en anglais). | |||||||||||||||||||||
Clin d’œil sur le Canada AtlantiquePOUR DIFFUSION IMMÉDIATE St. John’s, TNL – Les universités et collèges communautaires de l’Atlantique ont signé un protocole d’entente (PE) qui favorise une plus grande collaboration entre institutions et permet aux étudiants de terminer des études postsecondaires plus rapidement dans un cadre éducatif plus homogène. Le protocole d’entente démontre la volonté des institutions d’intégrer davantage les expériences d’apprentissage des étudiants afin d’éviter un dédoublement des études postsecondaires. | |||||||||||||||||||||
Rapport final de l’exécutif de l’ARUCC : Conférence ARUCC 2008Du 25 au 28 juin 2008, The Westin Nova Scotia (Halifax) Si vous désirez obtenir plus de détails, cliquez ici pour poursuivre la lecture. |
|||||||||||||||||||||
Cheminement des membresColombie-Britannique |
|||||||||||||||||||||
Liens utilesArchive du sondage de l’ARUCCwww.arucc.ca/survey.htm Bulletins opérationnels de Citoyenneté et Immigration CanadaPour connaître les changements et obtenir des clarifications sur les politiques d’immigration www.cic.gc.ca/francais/ressources/guides/bulletins/2009/index.asp |
|||||||||||||||||||||
Mise à jour sur la mobilitéLe Consortium pancanadien sur les admissions et les transferts a récemment tenu une conférence à Fredericton, Nouveau-Brunswick. Lisez les nouveautés sur la mobilité provinciale ainsi que le discours de Michael Skolnik, professeur émérite (University of Toronto) et une mise à jour sur les tendances de mobilité par Stephanie Oldford (Conseil canadien sur l’apprentissage). www.pccat.ca/files/pccat-2009/ |
|||||||||||||||||||||
L’ARUCC vous remercie de votre soutien! |
|||||||||||||||||||||